Il nous identifie, transmet nos émotions.
Avec le temps, les muscles s’affaissent, la peau se distend, et l’écrin qui protégeait notre regard s’altère. Le regard devient terne et fatigué. Si dans un premier temps la médecine esthétique peut améliorer les choses, il arrive inexorablement l’heure de la chirurgie.

⚫ L’excès de peau peut être enlevé.

Le pli disgracieux des paupieres supérieures, qui, parfois atteint les cils sera supprimé, les poches sous les yeux aussi. Il est possible d’opérer les deux paupieres supérieures, les deux paupieres inférieures, ou les quartes paupieres en même temps.

⚫ Le regard s’allège, il est moins las.

Mais bien sûr, il est impossible d’enlever un excès de peau sans faire de cicatrice. Celles-ci seront cachées, soit dans le plis de la paupière supérieure, soit à l’ombre des cils.

Dans les suites immédiates, il est fréquent que le patient voit trouble, ne serait-ce que parce qu’il larmoie, qu’il a souvent de la pommade dans les yeux.

Dans les premiers jours, il y a souvent une malocclusion palpébrale due à l’œdème post-opératoire. Cette malocclusion va régresser avec la disparition de l’œdème, et le patient va larmoyer et voir flou pendant quelques jours.

Comment réduire cette malocclusion ?
Un traitement par collyres et/ou pommade ophtalmique doit tout faire rentrer dans l’ordre.